Le titre est bien assez évocateur, n’est ce pas ?
Alors pas la peine de vous expliquer dans quel sujet nous allons entrer précisément, tout est dit.
Comme vous le savez, notamment ces derniers temps, après un hiver avec quelques excès de food, j’ai décidé de ne plus me trouver d’excuse et d’aller à la salle tous les matins.
Alors, oui au début, c’est pénible, aucune envie de me lever aussi tôt pour me retrouver en sous-sol à transpirer… Puis c’est comme tout, une fois que l’on a capté qu’il faut parfois se donner un bon coup de pied aux fesses pour notre bien, le déclic est là, et tout devient plus fluide.
Aujourd’hui, impossible pour moi de me passer de cette routine, qui au-delà de l’aspect physique, me fait un bien fou au mental et me sauve de mes problèmes thyrodidiens. (Rappelez-vous que l’endocrinologue m’avait dit de me mettre bien plus au sport, ou sinon c’était médics à vie).
Mais pour tout vous dire, cette attirance pour le sport, la dépense physique ne date pas d’hier.
Je suis issue d’une famille de sportifs, ma mère, par exemple était championne de Tennis du Maroc. Mon père, c’est une autre sorte de sport qui l’a toujours attiré : le dépassement de soi-même. C’est une discipline mentale peut-être bien plus difficile à entreprendre qu’une discipline sportive, c’est un fou d’aventures, qui a toujours voyagé dans des contrées risquées jusqu’à flirter avec des situations qui auraient pu être dramatiques. Encore aujourd’hui, il aime partir seul avec son bateau, y manger ses boites de sardines et y dormir, loin du réseau téléphonique et autres conforts de notre société. Pour lui, c’est son plus grand « luxe », le meilleur moyen de se retrouver seul avec lui-même.
Athéna, ma soeur, elle, est une tarée de gym et de football féminin… Bref, le challenge fait partie de notre ADN, je ne sais pas si c’est bien ou c’est mal, en tous cas, j’ai été élevée de cette manière là, à aller toujours plus loin, quitte à me manger un mur.
Aujourd’hui, j’ai été contactée par Nike pour prendre part à leur campagne « Believe in More » et j’ai choisi la danse, une activité que j’exerce dès que je le peux. Jusqu’à l’année dernière je suivais des cours de dancehall chaque semaine mais mon emploi du temps agité par mes déplacements, m’empêche aujourd’hui de me tenir à un horaire précis.
J’ai toujours fait de la danse : du classique, du hip hop, du modern jazz puis du dancehall.
L’été, je partais en camp de danse lorsque j’étais adolescente. J’adorais, j’adore ça.
C’est une manière pour moi de faire de l’exercice tout en prenant du plaisir.
Je suis loin d’être une excellente danseuse, je galère à suivre des chorégraphies mais who cares ? Je kiffe. Et dès que l’occasion se présente, je suis la première à me déhancher, à faire grimper mon rythme cardiaque sur des notes de musique.
Au delà de cette notion de bien être mental et physique, il y a ce facteur d’accomplissement qui me séduit. Je reçois souvent des messages de votre part me demandant « comment est-ce que tu fais pour te tenir à cette cadence ? ».
La réponse est simple : je le fais avec le smile, je le fais en prenant du plaisir. Et comment faire pour prendre du plaisir dans une activité physique ? Oubliez la pression que nous met la société, ou que nous ont mis nos profs d’EPS à l’école : le sport n’est pas une contrainte, ni une obligation. Avoir un corps de rêve ne doit pas être votre objectif n°1.
Si dès le départ, vous abordez la chose avec appréhension, bien évidemment vous en serez déjà dégoûtés.
Le sport, c’est comme tout, vous mettrez certainement du temps à trouver celui qui vous conviendra.
Comme un matelas sur un sommier, vous allez devoir tester différents modèles avant d’être sûrs que vous repartirez avec celui-ci plutôt que celui-là.
Comme un rouge à lèvres, ou même comme une amitié. On ne peut pas sortir du ventre de sa mère avec des convictions. C’est ça, ce que j’appelle se prendre le mur. Se confronter à des échecs pour finalement être convaincu par la direction que l’on prend.
Quand j’étais petite, ma mère m’avait inscrite à des cours de basket. J’en ai fait pendant deux ans. C’était cool, mais ça ne prenait pas. De là, elle m’a inscrite à des cours de GRS. Mais quel enfer… ! Je détestais. Tout. L’atmospère girly qui en découlait, les cerceaux et compagnie. J’ai essayé mais après plusieurs séances, j’ai bien compris que ce n’était pas pour moi.
Voilà comment à 11 ans, je me suis retrouvée à un cours de hip hop. Et là, révélation…
Depuis ce jour là, je n’ai jamais quitté cet univers, aussi bien via la musique ou l’art qui l’entoure et vingt ans plus tard, bien que je sois très loin d’être une experte de cette danse là, j’ai pris confiance en moi et après une bonne séance de cardio, ma musique à fond dans les oreilles, ou une bonne séance de danse, c’est lorsque je reviens à la vie réelle, vêtue en madame tout le monde, que je me sens pousser des ailes. La fameuse sensation post-sport, celle où l’on se sent si léger, prêt à défoncer des portes… Vous me suivez ? Et c’est à ce moment précis, que je suis fière de moi, fière d’être sortie de mon lit, et de m’être vidée la tête 1h30, fière d’être allée au bout de mon objectif, et surtout très satisfaite d’avoir trouvé ce qui me correspondait…
Trouver la tenue dans laquelle on se sent belle et bien est aussi un facteur de motivation non négligeable. Vraiment. Car prendre soin de soi commence avant l’entrainement. J’espère que ma tenue vous plaira, ainsi que la série photo vous inspirera. La vidéo n’a pas été demandée par Nike, mais il me paraissait évident de mettre en avant la danse en mouvement. J’attends vos retours et pour celles et ceux qui vont s’y mettre, n’oubliez pas : « Believe in More ».
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Brassière / Bra NIKE INDY LOGO BACK
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