Vous souvenez-vous de cet échange que nous avons entamé sur Snapchat concernant un sujet, pas très sexy, mais qui nous concernent toutes ? Vous avez été nombreuses à me conseiller et je vous en remercie. Je vais m’expliquer pour celles qui n’ont pas suivi et vous raconter la suite de l’épisode !
Je vous avais raconté que j’avais fait pratiquer la lumière pulsée en institut, au niveau des aisselles et du maillot il y a maintenant dix ans et que je sentais qu’il était temps d’attaquer à nouveau.
Car contrairement à la pratique du laser qui éradique le bulbe du poil (adieu à vie, quoi), la lumière pulsée retarde la repousse et affine le poil.
De mon côté, j’avais effectué 7 séances environ, ça avait super bien fonctionné puisque je passais seulement un coup d’épilateur électrique tous les deux mois, par la suite. Pour même entrer dans les détails, je n’ai jamais eu à mettre un pied chez une esthéticienne, mes poils étant beaucoup plus souples, je ne ressentais aucune douleur avec cet épilateur électrique à la maison.
Mais voilà que depuis quelques mois, j’ai remarqué que la repousse était plus drue, que mes petites retouches à l’épilateur se rapprochaient de plus en plus mais surtout, que je serrais grave les dents à chaque arrachage de poils.
C’est là que je vous ai posé la question, à savoir : vaut il mieux retourner en institut ou tenter la lumière pulsée à domicile ?
La réponse est unanime : pour un résultat rapide, il faudrait que je fasse quelques séances en institut. Si je ne suis pas pressée, je peux me pencher sur la seconde option.
Chose que j’ai faite car même si je suis de nature très impatiente, je me dis que rien ne m’empêchera d’utiliser ce petit instrument régulièrement (l’intensité de la lumière est moins forte qu’en institut donc autant en faire un partenaire). J’ai alors démarré avec l’IPL ES-WH80 de Panasonic (cliquez sur le lien, pour accéder au produit) et selon les besoins et les résultats, je me rendrai en institut ou pas avant l’été.
C’était le tout dernier qui venait de voir le jour sur le marché, et j’ai parcouru les forums pour avoir des avis, qui m’ont semblé très bien.
Voilà maintenant un mois que j’ai démarré à la hauteur d’une séance par semaine et ce, pendant les deux premiers mois (il me reste encore un mois) pour le maillot et les aisselles. Même si les résultats ne sont pas encore flagrants (ça prend du temps qu’on se le dise), je constate une petite liste de points positifs.
-Je ne me suis jamais brûlée (ça m’était arrivé en institut, j’ai encore une petite marque due à la croûte – charmant n’est ce pas ?) et ma peau est même plutôt lisse et douce.
-J’ai le choix entre plusieurs intensités que je peux choisir grâce à un nuancier, j’avoue avoir démarré tranquille et tout comme n’importe quoi que je teste sur ma peau, j’y vais gentiment puis si ça passe, je me lâche. Ayant la peau super épaisse, je me suis donc me permise d’augmenter ces derniers temps.
-Tout comme un épilateur électrique sans fil, je le recharge de temps en temps. A la différence que lui, ne fait aucun bruit quand il est en marche.
-Aussi, point important je suppose, il a plutôt l’apparence d’un gros rasoir plutôt qu’un pistolet comme la plupart des IPL. Et psychologiquement, déjà s’envoyer des flashes sur des zones où la peau est relativement fine ça peut faire peur, alors au moins l’esthétique est rassurante, je trouve.
-Il fonctionne en mode « multi-flash », c’est à dire qu’à chaque pression du bouton, une série de 10 flashes se succèdent, un petit gain de temps non négligeable.
-Et forcément, plus je serai amenée à l’utiliser, plus mes poils disparaîtront, ou en tous cas dans un premier temps repousseront considérablement moins vite et laissera ma peau douce.
Je vous remercie donc pour vos messages et réactions et j’espère avoir pu répondre aux vôtres !
Je vous tiendrai au courant de la suite des évènements en tous cas. Si vous avez d’autres interrogations, n’hésitez pas à me laisser un commentaire.
Petit rappel : L’épilation à la lumière pulsée se pratique sur une zone fraîchement rasée (jamais sur le visage par contre) et ne se pratique pas sur une peau bronzée. De plus, on recommande de ne pas s’exposer moins deux semaines après l’épilation à la lumière pulsée afin d’éviter la survenue de taches pigmentaires. (Je ne vous raconte pas les phases à Los Angeles, au bord de la piscine. Je me baignais en 2/2 chargée d’écran total sur ces zones, et revenais sur mon transat, serviette appliquée minutieusement sur les zones traitées. Ce qu’on ne ferait pas contre ces maudits poils !).
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