Lequel d’entre nous n’a pas de petits complexes ? Aucun, c’est sûr.
De mon côté, bien que mes parents m’aient toujours inculqué la confiance en soi, malgré les fixettes que j’ai pu avoir, il y a des choses contre lesquelles je ne peux pas lutter.
Par exemple, je déteste mon nez et encore plus qu’on me dise « Ton nez, c’est ton charme, si tu y touches, tu perds toute ton identité ».
Ouais non mais ça va aller, comment te dire que mon nez est d’une longueur infinie et que plus je vieillis, plus celui-ci s’agrandit à vue d’oeil. Puis, tu auras beau tenter de me réconcilier avec lui, rien n’y fera, j’ai tout essayé, merci bien !
Anyway, n’étant pas du tout attirée par la chirurgie esthétique parce-que je n’ai pas envie de me retrouver avec le nez de Carla Bruni sur un malentendu, je passe mon tour et tente de gratter l’amitié avec le nez qui m’a été donné.
Une autre chose avec laquelle je ne suis pas à l’aise : mes cuisses.
Encore une fois, j’entends à tout va « Oh mais tu as les jambes si musclées, estime toi heureuse (ouais enfin, je fais du sport, je ne suis pas sortie du ventre de ma mère avec de tels cuissots les gars), regarde des filles comme Beyonce ou Rihanna… »
Alors j’avoue que je ne suis pas mécontente d’être tonique, c’est vrai, en revanche, je préfèrerai être plus affinée, mais je ne peux pas lutter contre ma morphologie (les jambes épaisses, c’est du côté de mon père, bisous Papou si tu passes par là).
Sans parler de ma petite culotte de cheval (rien que le nom, s’il vous plaît, vite apportez moi un seau !). Je vous vois déjà vous dire que je délire mais sachez que la culotte de cheval n’est pas forcément proportionnelle à celle de Kim Kardashian. Il y en a des plus accentuées que d’autres.
Moi, j’en ai toujours eu une, pas flagrante mais présente. Alors ça, associé à mes jambes de soeur Williams, ravissant, vraiment ! Et puis vous savez comment ça se passe, on est toujours beaucoup plus dur avec soi-même que l’est le regard des autres.
En bonne petite cachotière que je suis et pour en venir à bout de cette culotte de cheval (vraiment, je ne me remets pas de cette appellation horrible !), j’ai opté pour une séance de Coolsculpting au mois d’avril dernier.
Il s’agit d’une nouvelle technique de médecine esthétique naturelle, qui, grâce au froid diffusé par un appareil sur la zone ciblée (en l’occurence 2 heures d’un côté, suivi de 2 heures de l’autre), va éliminer la graisse.
Cette méthode est efficace contre les graisses dites tenaces, celles qui malgré tout le sport que vous faites, restent tranquillement posées sur votre corps. Celles qui énervent, quoi.
En revanche, ce traitement ne convient pas aux personnes obèses ou en surpoids important. Il faut vraiment perdre ses kilos superflus avant de se lancer là-dedans, ou sinon vous ne verrez jamais la différence avant/après.
Je ne vous en ai pas parlé sur mes réseaux car je voulais être sûre du résultat avant, et cela peut parfois prendre quelques mois (ce qui a été mon cas, environ deux mois pour constater le différence).
J’ai d’abord rencontré le médecin spécialiste qui allait s’occuper de moi. Même s’il ne s’agit pas d’opération esthétique, c’est un petit traumatisme pour le corps puisque la zone (ça peut être le ventre, l’intérieur des cuisses, les poignets d’amour etc) traitée, va être aspirée par un applicateur qui va la refroidir, pendant 1 à 2 heures pour entraîner la destruction des cellules graisseuses.
Puis j’y suis retournée le jour J.
De mon côté, j’en avais pour quatre heures, j’ai donc amené avec moi mon ordinateur afin de pouvoir travailler (et mater des vidéos débiles, j’avoue) étant donné qu’on vous immobilise. Sur le coup vous ne ressentez rien, c’estfroid, très froid, ça vous congèle en gros.
La séance terminée, le médecin revient afin de masser votre zone traitée et de la réchauffer.
J’ai d’ailleurs ressenti des petites douleurs (similaires à celles que vous avez lorsque vous avez un petit hématome) un mois après encore. Je sais par contre, que la douleur, est bien plus intense lorsqu’on le fait au ventre. Mais ça, c’est le médecin qui vous en parlera mieux que moi.
Je n’ai pas vu le résultat immédiatement. Ma mère a vu la différence bien plus vite que moi d’ailleurs (deux semaines après environ).
Il aura fallu que j’attende deux mois pour constater, qu’effectivement, ça avait marché, et bien marché !
Pour tout vous dire, je m’en suis rendue compte un soir en allant me coucher. Par curiosité, j’ai passé mes doigts sur ma culotte de cheval, sur chaque jambe et me suis rendue compte que la zone qui avait été traitée avait comme un léger renfoncement.
Comme si, le petit surplus de graisse que je ressentais au toucher avait disparu pour laisser place à un vide. C’est assez difficile de l’expliquer en fait, mais je pense que vous m’avez comprise.
Je me suis donc levée pour aller me regarder dans le miroir et là, ça m’a frappée ! Amen, le truc a réellement fonctionné !
Après la séance, j’ai pu reprendre ma petite vie tout à fait normalement, mais forcément je ne me suis pas ruée sur de la malbouffe les semaines qui ont suivi. Tant qu’à faire, autant jouer le jeu pour de vrai non ? (Dixit la fille qui a pris 4 kilos cet été… Oui bon, c’est l’été, on a le droit de se lâcher !).
Bien évidemment, si la première séance ne vous a pas pleinement satisfaite, vous pouvez vous en permettre une deuxième. A voir avec le médecin, bien entendu. Mais en toute franchise, ça a super bien marché pour moi, et j’ai également pu consulter d’autres blogs qui en parlaient avec un retour positif.
Il s’agit d’un gros coût, je vous l’accorde. Comptez environ 600 euros par zone traitée, avec des tarifs dégressifs. Soit 1200 euros pour la culotte de cheval. C’est une sacrée somme, mais qui en vaut la chandelle si l’on en a les moyens et que l’on n’aspire pas à de la chirurgie esthétique. J’ai pu vous obtenir -10% sur n’importe quelle prestation, il suffit d’appeler ou d’y aller de ma part en mentionnant que vous faites référence à cet article.
J’ai cherché des photos de l’été dernier, pour vous montrer le avant/après et je me rends compte que j’en ai très peu où je me dévoile autant que j’ai pu le faire cet été. Ou alors, j’ai souvent une main posée sur la cuisse, histoire de planquer ce qui était mon complexe.
Mais regardez bien et dites-moi ce que vous en pensez !
Bien sûr, si vous avez des questions, n’hésitez pas !
ÉTÉ 2014
ÉTÉ 2015
J’ai réalisé ma séance au Centre Epilium dont voici les cordonnées.
Les deux centres :
8 rue Lincoln, 75008 Paris – 01 40 06 02 02
5 rue Jean Lantier, 75001 Paris – 01 40 39 12 12
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