« Je vis un rêve », « J’ai vécu un rêve »… Allez, j’ai du sortir ces phrases une dizaine de fois en quatre jours.
Et avec le recul, en rédigeant ce texte, je vous le confirme, les rêves deviennent parfois réalité.
La dernière fois que je m’étais rendue à l’Ile Maurice, c’était il y deux ans, rappelez-vous, j’avais séjourné à l’hôtel Dinarobin.
Invitée a nouveau par le groupe Beachcomber, j’ai cette fois-ci logé au Shandrani Resort & Spa, le premier cinq étoiles « all-inclusive » de l’Ile Maurice.
J’y ai dormi trois nuits, ce qui finalement n’était pas si court que ça car j’ai vraiment profité de diverses activités, j’en ai pris plein la vue (et les papilles).
J’avais peur de ne pas réussir à me mettre dans le mood suffisamment vite pour jouir pleinement du voyage… Car en voyages de presse, c’est souvent comme ça : vous avez à peine le temps d’arriver à une destination, que vous en repartez !
Au final, moi qui déteste rester en place dans un même lieu au sein d’un même pays, qui ai horreur de cuire des heures au soleil sur une plage, j’ai été surprise par la diversité d’options qui nous a été proposée au sein de l’hôtel.
Pour commencer, il y a trois grandes plages sur cette petite péninsule privée du sud de l’île.
Ma chambre donnait sur l’une d’entre elle, je vous épargne la magie des réveils, les couchers de soleil et tout et tout.
Chaque jour était si différent de la veille ! Nous avons pu faire du stand-up paddle dans la baie par exemple, un moment incroyable d’évasion… Ou encore prendre un cours de cuisine sur la plage, enseigné par les chefs des lieux.
Repas que nous avons, bien évidemment, savouré les pieds dans l’eau.
Quelle ambiance, d’ailleurs ! Que les gens sont chaleureux et détendus par ici !
La journée que j’ai mise au dessus de tout était celle où une petite expédition était organisée.
Départ en bateau de l’hôtel pour arriver (après une petite traversée de l’Océan Indien qui vous fracture la rétine, comme il se doit) sur l’Ile aux Aigrettes, une réserve naturelle.
L’occasion de voir à quoi ressemblait Maurice au commencement : de la végétation abondante et des animaux improbables partout !
Un guide nous accompagnait pour nous éduquer à l’eco-système et quand bien même l’écologie n’est pas votre passion première, vous vous surprenez à en être fascinés.
Après avoir fait la connaissance de Big Daddy (tortue de 250 kilos et 95 ans) et accessoirement pris un petit coup de chaud, un plongeon facon snorkelling en plein océan s’imposait.
Je crois que ça ne vaut pas la peine d’épiloguer sur les poissons color block, qui rodent partout ?
S’en est suivi un tour dans le sud-ouest de l’Île pour apprécier la vue d’une cascade et sympathiser avec quelques singes curieux de notre présence.
Un rêve, je vous dis !
Après cette matinée bien remplie, quoi de plus cool que d’aller s’échouer sur l’île aux Cerfs pour déjeuner ?
Nous étions seuls au monde, armés d’un festin froid concocté par l’hôtel.
Alors que toi, au moindre rayon de soleil, tu vas te vautrer dans un pauvre parc entre quelques mégots, pour partager un pique-nique avec des milliers de personnes, là tu relativises pas mal sur ce que tu es en train de vivre. (Puis tu pleures.)
Nous avons achevé notre journée sur ce spot, entre micros siestes, baignades et photos à tout va.
Une pause dans le temps également était le massage de folie au spa Clarins : La Source. Et je suis très exigeante en matière de massages !
Il ne s’agissait pas du soin entre quatre murs avec accessoirement le bruit au loin de quelques klaxons et quelqu’un qui te « caresse » gentiment.
Non, le massage en plein air sous une petite hutte, celui avec des pressions, suivi de son thé à la citronnelle au bord de la piscine chauffée.
Après un vol de douze heures sans dormir, c’était le meilleur remède possible !
Côté ventre (hashtag j’ai pris deux kilos ouais ouais), j’ai testé trois des cinq restaurants de l’hôtel dont deux qui ne m’ont pas laissé indifférente.
Mention spéciale pour le Syrius, et son sacréchien (un poisson) cuit dans du bambou. Non mais cette tuerie…
Et le Treak Elephant, le resto thaïlandais -passion Thailande, vous connaissez l’histoire- où j’ai apprécié les plats mais aussi l’atmosphère.
En toute honnêteté, j’aurais pu rester une semaine de plus (really ???) pour me reposer certes, mais surtout parce-que je ne me serai pas ennuyée. Les gens qui me connaissent savent que je ne tiens pas une heure au même endroit, en vacances. J’ai toujours ce besoin de faire absolument tout, en omettant parfois la notion de vacances = repos.
Jai beau eu être dans un sublime hôtel, je me suis malgré tout confrontée à la culture et je n’ai finalement pas eu le temps de faire toutes les activités voulues (wakeboard, ski nautique, plongée, golf ou tennis, marché…).
Je pense qu’il va falloir songer à revenir rattraper ça d’ailleurs.
En attendant d’y retourner, je vous invite à consulter les blogs des copines Azzed et Mai, qui concoctent photos et vidéos sur ces quelques jours au paradis.
Et pour clôturer ce texte, un grand merci à Gaëlle et à toute la team Beachcomber pour cet accueil formidable. L’une des choses essentielles est de créer des souvenirs et sur ce coup-là, le challenge est grandement remporté !
Collier – Stella & Dot
Maillot de bain – MANA MILENA
Maillot de bain (jaune) – H&M
Combinaison – Boohoo
Maillot de Bain – Volcom
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