A la suite du shooting que j’avais fait avec Diego , je m’étais dit qu’en plus de satisfaire le lectorat masculin de ce blog, je pourrais éventuellement faire plaisir aux plus jeunes de mes lecteurs.
Hop hop hop, j’ai attrapé Romeo, notre petit dernier qui fêtera ses 18 ans dans un mois (tuez-moi).
Romeo, c’est « le cadeau du Bon Dieu » comme le nomme ma mère.
Plutôt original pour une personne non-croyante, c’est dire à quel point, c’est un joli présent.
Huit ans d’écart nous séparent et pourtant… C’est l’une des personnes qui me fait le plus rire. Tout le Monde s’accorde là-dessus. Son humour est si cynique mais fin, qu’il pourrait plier n’importe quel homme politique.
Vous vous imaginerez que c’est la grande sœur protectrice qui parle, mais non.
En toute objectivité, ce mec est un bonheur et je n’aurais pas rêvé mieux comme petit frère.
Il était le bébé le plus doux du Monde et aujourd’hui, bien qu’il soit toujours sous mon aile, c’est un complice hors-pair.
J’ai souvent quinze ans dans ma tête et je suis ravie de pouvoir partager autant de conneries avec lui. Il est aussi mature que je suis immature et, est toujours partant pour me suivre dans mes bêtises type « pousser des cris improbables, quand il ne le faut pas », « inventer des parodies, dégueulasses à souhait » ou « lâcher des mots hardcore dans une discussion qui ne le méritait pas ».
Stupide, mais trop bon.
Nous ne vivons plus ensemble mais je tiens à passer chaque été à ses côtés et à dormir avec lui (attention, pervers aux idées mal placées, passez votre chemin, merci.), comme des vieux potes en colo, pour ne pas manquer une seconde de ce qui pourrait renforcer notre fraternité.
Je me rends bien compte qu’il devient un adulte, il me fait rire quand il me place « Kenz, tu me dis, hein, je lui pète la gueule, si tu veux ».
La fois la plus drôle était ce passage, il y a quelques années, qui avait mal tourné pour moi chez une esthéticienne. Vous pensez mal les amis ! Bref, passons.
Il avait quinze ans et m’avait sorti un truc du genre « Avec mes potes, on s’est chauffés, on va aller tagguer la vitrine de son enseigne. » GO BRO !
Pour ceux qui ne le connaissent pas, voici donc Romeo (sans Juliette – elle était facile, j’avoue-) !