Je n’en peux déjà plus de ce temps, de ce vent qui a tendance à m’éjecter de mon vélo et de cette pluie qui pourrit mes vêtements.
J’ai des envies d’ailleurs (ça sonne pub si cheap), j’étais en train de me dire que si j’en avais les moyens, je ferai bien un tour au Brésil, en Australie et en Thaïlande. Je rêve bien évidemment.
Entre India qui est à New York, Margaux B à Berlin, ma mère qui pour son boulot enchaîne le Maroc puis les Caraïbes ( vies de merdes)… En plus de me sentir un peu seule, je fais une overdose de Paris.
Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais dans mon entourage, il y a une sorte de grosse remise en question de tout.
J’ai dîné avec mon meilleur ami, avec qui j’ai eu une discussion fascinante sur la vie (je vous épargne les détails) et d’après lui c’est un fait classique qui s’applique à nos âges. J’opte pour cette version, c’est rassurant !
J’ai déjà, comme beaucoup, pensé à tout modifier, changer de train de vie, de ville, de boulot ou autre, et à chaque fois je reviens à la même conclusion qui me fait dire qu’agir comme ça est plus de la lâcheté qu’autre chose et que je permettrai ce genre de folie une fois que j’aurai un but précis et que je saurai exactement ce que je veux faire de/dans ma vie.
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