10 robes, 23 hauts (débardeurs, tee-shirts confondus), 3 shorts, 1 combi-short, 1 pantalon, 5 maillots de bain, 4 paires de chaussures (sandales, escarpins).
Je ne me suis pas encore penchée sur le cas des sacs, des bijoux et des accessoires pour les cheveux.
Il faut aussi compter 2 trousses de toilettes, celle du quotidien et celle « the summer edition », avec crème solaire, huile pour le corps, huile pour les cheveux, crème après-soleil.
Enfin bref, divers packaging qui reviendront quasiment plein à mon retour.
Je crois que j’ai un sérieux problème.
Moi, mais nous les filles.
Nous avons un problème. Et ce n’est pas Coline qui m’affirmera le contraire.
Je quitte Paris dans 4 jours et ma valise trône déjà fièrement à quelques mètres de moi prête à prendre place dans le prochain train.
Ca c’est le premier symptôme de ma névrose « départ en vacances ».
Le deuxième se définit par la quantité de fringues que j’embarque.
Je pars 10 jours, je reviens à Paris et je repars.
Relisez (plus haut) mon listing cette année, je suis sérieusement atteinte, on est d’accord ?
D’autant plus que je ne porterai pas la moitié de ce que j’emmène. Et je le sais, c’est ce qui est pire.
Mais j’ai beau essayé de composer mes tenues en associant des hauts avec des bas, et de me convaincre en me disant que ma tenue ne sera composée que de deux bouts de tissus, ça n’y change rien.
Là où je me rassure, c’est en voyant cet amas de vêtements, qui finalement servira à quelque chose d’autre (même si il doit rester dans une valise) qu’à pendre bêtement sur un cintre toute une année.
La perte de mon salaire dans le shopping est finalement justifiée.
Calmez-moi, on fonctionne de la même façon ou pas du tout ?
Jogging – H&M
Tee-Shirt – Hype Means Nothing
Ballerines – Zara
Veste – Levi’s
Sac – Balenciaga
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