Troisième jour.
Lever à 6 heures pour un trajet d’une heure en bateau qui nous mènera à Colonia del Sacramento, une ville au sud-ouest de l’Uruguay fondée par les portugais, squattée par les espagnols, repris à nouveau par les portugais puis par les brésiliens.
Tout ça entre 1680 et 1825.
Je n’avais aucune d’idée de ce qu’était l’Uruguay. Ou si j’en avais une, ce n’était clairement pas la bonne.
Il n’y a pas de mots pour décrire l’impression que j’ai ressentie.
En une heure passer du vacarme de Buenos Aires à une ville aussi calme… Et si authentique.
Les photos parlent d’elles-même, voyez à quel point ce lieu est ravissant et apaisant.
La moitié de la ville est dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.
Apaisant au point qu’en fin de journée, je me suis étendue face au soleil et à la mer sur une pelouse et me suis endormie près d’une heure et demie, chose qui ne m’arrive jamais.
A chaque fin de billet et ce jusqu’au 10 octobre, je vous ennuierai un petit peu en vous demandant de voter pour moi et ma paire de chaussures fétiches !
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